Chaque jour n'est autre que ce que tu en fais

Everyday is only what you make it!
Quelqu'un me l'a dit à une période où je voyais tout en noir. J'étais
à l'étranger, je ne connaissais presque personne et un malentendu
m'avait brouillé avec les personnes avec qui je travaillais (avec le
recul je me dis qu'on était à la limite du harcèlement moral en fait,
mais passons).
Je déprimais
pas mal, j'avais le mal du pays, alors que j'étais pourtant dans un
pays super (l'Ecosse au mois de novembre, ou février, je ne sais plus).
Toujours
est-il que j'ai recontré Scott dans le bus (peut-être était-ce en
rentrant juste après les vacances de Noël, en fait) et je lui ai raconté
ma vie, et il m'a dit cette phrase (ou alors il me l'a écrite dans un
texto quelques temps plus tard):
"Everyday is only what you make it, remember that".
Cette phrase a changé ma vie. Je ne l'ai jamais oubliée.
J'ai cessé de subir la vie et les coups durs pour être actrice, modeler la vie telle que j'avais envie qu'elle soit.
Certes, il y a un côté un peu culpabilisateur dans cette phrase selon comment on la regarde, mais j'y ai surtout vu la possibilité infinie que j'avais d'influer sur le cours des choses.
Si je décidais de passer une bonne journée, j'allais
passer une bonne journée. Si je décidais et faisais en sorte de passer
une bonne année à l'étranger, j'allais passer une bonne année à
l'étranger. J'ai donc décidé de faire de cette année en Ecosse une super expérience.
J'ai saisi chaque opportunité de sortir, de rencontrer des gens, d'aller me balader même seule dans des paysages magnifiques.
J'ai voyagé, rencontré plein de gens chouettes, me suis fait des amis, un amoureux... et j'ai passé une super année!J'ai continué à vivre selon cette devise, qui en est devenue une, et à faire en sorte de vivre la vie que je voulais, dont j'avais rêvé.
On peut décider de passer une bonne journée, ou une mauvaise.
On peut décider de voir les choses du bon côté, ou du mauvais.
On peut décider d'attirer à soi les choses positives.
On peut décider de faire les choses qui nous font du bien, ou de se faire du mal.
Le tout est de savoir s'écouter.
C'est à présent ce que je suis entrain d'apprendre. A m'écouter. C'est la chose la plus dure à faire parce que l'on ne nous apprend pas du tout à le faire lorsqu'on est petit. On nous apprend à écouter ses parents, ses profs, les autres. Mais à s'écouter soi, jamais.
On apprend à faire plaisir aux autres, pour être récompensés.
Ce sont ces enseignements des trois dernières années (et même d'avant) que je te partagerai en t'accompagnant pendant deux mois si tu choisis de t'inscrire à Renaissance.
Il y a trois places ouvertes pour le mois de janvier, pour commencer dès la première semaine de janvier.
Si tu es intéressée, n'hésite pas à m'écrire en répondant à ce mail, ou à t'inscrire via le lien suivant:
